J'avais cru fermer mon coeur si fort
Finalement pas assez
Puisque tu y es rentré sans effort
Fatalement j'avais laissé
Une fenêtre ouverte sur… tes yeux
Qui me brûlent autant qu'ils sont bleus
Une fenêtre ouverte sur tes yeux
Une lucarne ouverte aux cieux
Sur l'espoir somnambule d'être deux
Une fenêtre ouverte, ouverte sur tes yeux
Acides, ces bulles tombant sur mes bleus
Je ne devais plus aimer
Pour ne pas souffrir
Mais puis-je te blâmer
De m'avoir fait sourire
Par la fenêtre ouverte sur tes yeux
Aussi grande qu'ils sont bleus
Un souffle de jour
Portant ton nom, Amour
Si je soupire à ton allure
C'est que j'ai peur
Que d'aventure
Je ne sois pas à ta hauteur
Pour que tu devines
Que si, comme tout à l'heure
Mes yeux déclinent
C'est pour te cacher que peut-être
J'ai en moi comme une fenêtre
Une fenêtre ouverte sur… tes yeux
Qui me brûlent autant qu'ils sont bleus
Une fenêtre ouverte sur tes yeux
Une lucarne ouverte aux cieux
Sur l'espoir ridicule d'être deux
Une fenêtre ouverte, ouverte sur tes yeux
Acides, ces bulles tombant sur mes bleus
Je ne devais plus aimer
Pour ne pas souffrir
Mais puis-je te blâmer
De m'avoir fait sourire
Par la fenêtre ouverte sur tes yeux
Aussi grande qu'ils sont bleus
Une fenêtre ouverte sur… tes yeux
Qui me brûlent autant qu'ils sont bleus
Une fenêtre ouverte sur tes yeux
Une lucarne ouverte aux cieux
L'espoir d’une particule d'être deux
Une fenêtre ouverte, ouverte sur tes yeux
Acides, ces bulles tombant sur mes bleus
Oh, le souffle court
Portant mon nom, Amour
Si je dois écrire mon murmure
C’est que j’ai peur
Que sous ton armure
Il n’y soit pas la chaleur
Celle qui me fascine
Que si, quand il sera l’heure
L’aveu m’assassine
C’est pour te lâcher que peut-être
J’espère en toi une fenêtre
Une fenêtre ouverte pour…pour mes yeux
Amoureux autant que les tiens sont bleus
Je serais heureux de trouver chez eux
L’espoir crédule d’être deux
Même si…
Je ne devais plus aimer
Pour ne pas souffrir
Mais puis-je te blâmer
De m'avoir fait sourire
Par la fenêtre ouverte sur tes yeux
Aussi grande qu'ils sont bleus
Qu’ils me brûlent autant qu'ils sont bleus
Ô temps, qu’ils sont mieux
Autant qu’ils sont bleus
Qu’ils sont bleus…
Benny
Finalement pas assez
Puisque tu y es rentré sans effort
Fatalement j'avais laissé
Une fenêtre ouverte sur… tes yeux
Qui me brûlent autant qu'ils sont bleus
Une fenêtre ouverte sur tes yeux
Une lucarne ouverte aux cieux
Sur l'espoir somnambule d'être deux
Une fenêtre ouverte, ouverte sur tes yeux
Acides, ces bulles tombant sur mes bleus
Je ne devais plus aimer
Pour ne pas souffrir
Mais puis-je te blâmer
De m'avoir fait sourire
Par la fenêtre ouverte sur tes yeux
Aussi grande qu'ils sont bleus
Un souffle de jour
Portant ton nom, Amour
Si je soupire à ton allure
C'est que j'ai peur
Que d'aventure
Je ne sois pas à ta hauteur
Pour que tu devines
Que si, comme tout à l'heure
Mes yeux déclinent
C'est pour te cacher que peut-être
J'ai en moi comme une fenêtre
Une fenêtre ouverte sur… tes yeux
Qui me brûlent autant qu'ils sont bleus
Une fenêtre ouverte sur tes yeux
Une lucarne ouverte aux cieux
Sur l'espoir ridicule d'être deux
Une fenêtre ouverte, ouverte sur tes yeux
Acides, ces bulles tombant sur mes bleus
Je ne devais plus aimer
Pour ne pas souffrir
Mais puis-je te blâmer
De m'avoir fait sourire
Par la fenêtre ouverte sur tes yeux
Aussi grande qu'ils sont bleus
Une fenêtre ouverte sur… tes yeux
Qui me brûlent autant qu'ils sont bleus
Une fenêtre ouverte sur tes yeux
Une lucarne ouverte aux cieux
L'espoir d’une particule d'être deux
Une fenêtre ouverte, ouverte sur tes yeux
Acides, ces bulles tombant sur mes bleus
Oh, le souffle court
Portant mon nom, Amour
Si je dois écrire mon murmure
C’est que j’ai peur
Que sous ton armure
Il n’y soit pas la chaleur
Celle qui me fascine
Que si, quand il sera l’heure
L’aveu m’assassine
C’est pour te lâcher que peut-être
J’espère en toi une fenêtre
Une fenêtre ouverte pour…pour mes yeux
Amoureux autant que les tiens sont bleus
Je serais heureux de trouver chez eux
L’espoir crédule d’être deux
Même si…
Je ne devais plus aimer
Pour ne pas souffrir
Mais puis-je te blâmer
De m'avoir fait sourire
Par la fenêtre ouverte sur tes yeux
Aussi grande qu'ils sont bleus
Qu’ils me brûlent autant qu'ils sont bleus
Ô temps, qu’ils sont mieux
Autant qu’ils sont bleus
Qu’ils sont bleus…
Benny
Jeu 6 Oct - 17:50 par Benny
» Cendres de vie
Ven 30 Sep - 12:56 par Benny
» Je le garde pour moi
Dim 24 Juil - 8:39 par Benny
» Pour le temps qu'on se donne
Mar 5 Juil - 13:38 par Benny
» L'élan
Ven 3 Juin - 11:54 par Benny
» Selfie-me
Ven 3 Juin - 9:12 par Benny
» Défondation
Jeu 12 Mai - 12:40 par Benny
» Le droit au bonheur
Ven 6 Mai - 7:45 par Benny
» Après toi
Jeu 14 Avr - 12:30 par Benny