Je construis des murs entre nous
Pour ne plus marcher vers toi
A chaque fois que je t’aperçois
Je resterais à genoux
Priant pour ne plus t’aimer
Je m’enferme loin de tout
Pour ne plus t’étouffer
Mais même dans le vide de mes plaines
Je reconnais cette absence comme la tienne
Je croyais que tu avais compris
Mon affection pour toi
Je pensais que tu avais saisit
Au moins pourquoi
Je m’éloigne ainsi de tes yeux
Je brûle sous leur feu
Je sais ta gêne
Quand je suis là
Sais-tu la peine
Que j’ai à me passer de toi ?
Je feints la vie mieux chaque jour
J’apprends même à jouer la joie
Mais quand je repense à toi
Je redeviens plus que sourd
Aux voix de la raison
Je m'invente du dégout
Pour taire mes violons
Mais même dans mon silence d'ébène
Il y a ta voix qui fait trembler la mienne
Je croyais que tu avais compris
Mon affection pour toi
Je pensais que tu avais saisit
Au moins pourquoi
Je m’éloigne ainsi de tes yeux
Je brûle sous leur feu
Je sais ta gêne
Quand je suis là
Sais-tu la peine
Que j’ai à me passer de toi ?
C’est moi que je fuis
Quand je m’éloigne de ta vie
J’évite ce qui me fait mal
Tant pis si mes matins sont plus pâles
Je sais que nous c’est impossible
Mais cette vérité m’est si pénible…
Si tu savais comme la vie sans toi…
C’est dur
Renoncer à toi
M’emmure
Mais il ne peut être autrement
Le sais-tu seulement ?
Sais-tu le trouble où je plonge
Pour ne pas ternir tes songes
Je croyais que tu avais compris
Mon affection pour toi
Je pensais que tu avais saisit
Au moins pourquoi
Je m’éloigne ainsi de tes yeux
Je brûle sous leur feu
Je sais ta gêne
Quand je suis là
Sais-tu la peine
Que j’ai à me passer de toi ?
C’est parce que je t’aime
Que je ne veux plus te voir
Puisses-tu savoir
Comme tu m’es problème
By Benny
Pour ne plus marcher vers toi
A chaque fois que je t’aperçois
Je resterais à genoux
Priant pour ne plus t’aimer
Je m’enferme loin de tout
Pour ne plus t’étouffer
Mais même dans le vide de mes plaines
Je reconnais cette absence comme la tienne
Je croyais que tu avais compris
Mon affection pour toi
Je pensais que tu avais saisit
Au moins pourquoi
Je m’éloigne ainsi de tes yeux
Je brûle sous leur feu
Je sais ta gêne
Quand je suis là
Sais-tu la peine
Que j’ai à me passer de toi ?
Je feints la vie mieux chaque jour
J’apprends même à jouer la joie
Mais quand je repense à toi
Je redeviens plus que sourd
Aux voix de la raison
Je m'invente du dégout
Pour taire mes violons
Mais même dans mon silence d'ébène
Il y a ta voix qui fait trembler la mienne
Je croyais que tu avais compris
Mon affection pour toi
Je pensais que tu avais saisit
Au moins pourquoi
Je m’éloigne ainsi de tes yeux
Je brûle sous leur feu
Je sais ta gêne
Quand je suis là
Sais-tu la peine
Que j’ai à me passer de toi ?
C’est moi que je fuis
Quand je m’éloigne de ta vie
J’évite ce qui me fait mal
Tant pis si mes matins sont plus pâles
Je sais que nous c’est impossible
Mais cette vérité m’est si pénible…
Si tu savais comme la vie sans toi…
C’est dur
Renoncer à toi
M’emmure
Mais il ne peut être autrement
Le sais-tu seulement ?
Sais-tu le trouble où je plonge
Pour ne pas ternir tes songes
Je croyais que tu avais compris
Mon affection pour toi
Je pensais que tu avais saisit
Au moins pourquoi
Je m’éloigne ainsi de tes yeux
Je brûle sous leur feu
Je sais ta gêne
Quand je suis là
Sais-tu la peine
Que j’ai à me passer de toi ?
C’est parce que je t’aime
Que je ne veux plus te voir
Puisses-tu savoir
Comme tu m’es problème
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